Je suis rarement allé jusqu'a vomir, mais je ça m'est quand même arrivé une fois ou deux.
La plus memorable a été due à une mauvaise blague.
Alors que je tournais à la biere, un "amis" a versé le fond de villageoise dans mon verre au trois quart plein.
Je fais pas gaffe et m'enfille une bonne rasade de ce coktail qui s'averrera explosif.
En effet, moins de cinq minutes plus tard, je ressent une poussée de sueur et l'irrepressible envie de me raffraichir. Mais à peine avais je atteint la salle de bain pour me passer de l'eau sur le visage que mon estomac me fit comprendre qu'il fallait de toute urgence traverser le couloir.... quelques secondes trop tard, helas.
Enfin, c'est pas moi qui ai du netoyer, mais le couillon qui fesait des melanges dans les verres des autres.

perso, je ne suis jamais allée jusqu'au coma éthylique, ce qui me range définitivement ds la catégorie "peite joueuse".
par contre, j'en ai retapissé des toilettes et même les couloirs avant les toilettes, voire la porte d'entrée, voire la rue...
c'est bon de se confier...

Ouais ben un cercueil, je t'en prépare un, tu le bois et tu pars au royaume des fées pendant des heures.
C'est un art les cercueils, faut pas mettre n'importe quoi dedans.

Je ne bois pas. C'est mauvais pour la santé. (et ça pique la gorge)

et du Pastaga (et faut que j'me calme là, vue la gueule de mon "palmarès" depuis dimanche soir, le tout sans pote, seul, LE vrai alcoolo qui déprime gore quoi...).
ah si ! (couché...) ma grand-mère met du Tonic dans son whisky et ça le fait quand le matin au réveil tu digères à peine celui du soir. ou l'inverse : pur le matin quand t'as trop mis de Schweppes dedans la veille...

sinon hier j'avais la flemme de me lever chercher de l'eau et c'était mon fond de bouteille de Pastis, alors j'ai mis de la San Pellegrino dedans... bof en fait.

faut dire, je me suis mis à boire sévère depuis que mes connaissances qui me permettaient de "méf' " sans avoir à accoster tout le monde se sont arrêtés de vendre du tish' : en gros depuis l'été 2006 c'est la misère éthylique.


J., à jeûn aujourd'hui et va essayer de s'en tenir à 17,2 aujourd'hui (2 x 8,6 en fait)
(sérieux, va falloir que j'consulte car j'en suis à parfois me forcer à boire juste pour virer comateux... ça c'est un coup à m'endormir et à crâmer si j'oublie que j'ai une clope en cours : ma hantise !)

J'ai changé.

Mon pére a fait un coma éthylique à 15 ans.
Je tiens ça de lui.

Par contre je n'ai vomi qu'une unique fois. C'était ma 1ére vraie cuite composée de rhum ambré, Vodka (fini cul sec avec un pote) et Sky pour ensuite errer comme des connards dans les rues de Lille.

J'ai beau me cuiter à mort je n'ai jamais bégér depuis. Par contre récemment à une soirée trop arrosée (apéro chez le frére d'un pote plus un bar entre potes et retour à la case départ avec des invités qui nous ont servis de bons mélanges) au moment de dormir je me suis mis à sangloter comme une gonzesse...
J'avais clairement dépassé un certain stade mais ça m'a fait du bien de chialer un coup

Sinon vaut mieux pas que je me trouve bourré avec des personnes que je méprise (comme 99% des buveurs of course). Récemment j'avais râlé un bon coup en classe et ait déballé toute ma haine sur deux vermines, je tapais sur la table comme un gros bourrin. Une amie assise à ma table m'a fait promettre de ne plus jamais me bourrer la gueule en sa présence, elle disait que j'avais des yeux de tueur...
Pour un non-violent....

ma meilleure pote m'a dit récemment, un soir de picole et de déprime chez Elo, qu'elle n'avait jamais lu tant de haine dans mon regard, qu'elle ne pensait pas que je pouvais avoir l'air si "violent"... et ce, comme toi, alors que je ne me suis jamais battu et que je suis "pas si fist pratiquant"...

l'alcool ça "bad" quand même enfin disons que ça exacerbe des trucs dont on se croit épargné


J.

15,8 en fait (les 8°6 sont à 7°9 depuis quelques années, je me souviens j'ai failli faire une manif quand c'est arrivé)

mais mdrrrrrr
j'adore les acharnés d'ta (nos) race(s) prêts à se battre pour les causes les plus nobles !

en plus t'as raison, car au-delà de 8°, tu ne peux plus y coller la notion de bière (suffit de mater les 11,9° ou les 12,6° de chez Amsterdamer ou chais plus l'nom... : y a pas de "bière" sur la boîte)

(pis finalement ce sera du blanc sec, ça change)
(pis passer de 45° à 11° ça m'f'ra pas d'mal)
(sauf que j'aurai aimé avoir de la crême de pêche ou de cassis, mais bon...)


J.

Ah Aaaaaaah!!Je vois qu'ici la modération ne fait pas son travail!Mort au topic des AA et vive le topic de la picole (moi je ne bois que du coca,du sirop de pomme ou de menthe glaciale et je vous merde!).

Ouah la gonzesse !

Moi je ne bois que du Perrier et de l'eau d'Azziz. Et de temps en temps du coca. Fini l'alcool !

pour écrire ça, faut avoir bu :


J.

Pas tant que ça.

Deep Impact est loin d'etre un chef d'oeuvre mais c'est loin d'etre un mauvais film et je le prefere aussi à l'autre bruckheimerie.

Je pense qu'il voulait parler du spoiler (pas de Happy end)

Ca c'est du déterrage de topic !

Tu peux très bien dire "pas de happy end" sans pour autant que ça spoile la fin du film.

Sinon, Jul se specialise dans le deterrage de topic depuis son retour

perso, j'adore Armageddon, et pas comme "film honteux", non, je l'adore vraiment pour un concept technoïde de "mise-en-son", film physique s'il en est, mais pas le temps de développer
et je ne déterre rien, c'est le programme TV du site Mad et c'est signé... (pourtant, dans le film de Leder, pas de type avec un colt, arborant une armure et prônant l'auto-défense... bizarre !)

J.

Trois whisky-coke, deux bouteilles de Fischer, la moitié d'une teille de blanc, la moitié d'une teille de champagne, trois verres de gnoles...

Et c'est mon oncle qui a vomi !



Trop bien les annivs de grand-mère !

Je deterre ce bon vieux topic histoire de parler un peu de vin.
Les grands vins sont magiques.

Hier soir nous avons bu (entre autres) un Beaune 1er cru Vigne de l'enfant Jésus 2001, un Pauillac Les Forts de Latour 2000 et un St Julien Gruaud Larose 1998 : quelle délicieuse soirée !!!
Je vais tenté très humblement de vous les décrire. C'est une première, alors ne vous moquez pas.

Le Beaune est très fruité, avec un très bel équilibre. Une robe légèrement tuilé, un bouquet très expressif, une bouche croquante et fondante à la fois. Le seul défaut de cette bouteille était de ne pas être un magnum.



Le petit frère du Chateau Latour est lui tout en puissance. Sa couleur est sombre mais éclatante et soyeuse en même temps. Son nez est très complexe, évoquant le cèdre avec des notes de bois précieux. Une structure très riche, un puissance impressionnante associée à un velouté presque fondant. C'est un grand vin.



Le Gruaud est encore plus énorme !
quelle nez, et quelle bouche, putain c'est du lourd.
Vin lui aussi est très équilibré, la bouche rappelant le nez. Un brin minéral, des saveur de terre mouillée, des notes de cuir, de cacao, de cèdre (lui aussi), de prune confite... tout ça dans le même verre! truc de barge...
La matière est très riche, presque opulente. Je ne m'en remet pas.

Ce midi:

Condrieu "la petite côte" de Cuilleron en apéro, très bien, du bel ouvrage.


Hermitage la Chapelle 1998, putain, que c'est bon !!!
L'œil : brillant, d'un rouge carmin, encore bien vif pour son âge (jeune pour un Hermitage de cette trempe ceci dit)
Le nez : des arômes de fruits noirs, un bouquet très complexe de bois précieux, de cèdre finement vanillé, d'épices fines : très sensuel mais aussi très puissant. Un côté légèrement animal en second nez.
La bouche : une attaque très fruitée elle aussi, structurée par de beaux tanins bien solides mais très soyeux en même temps. Un velouté envoutant. Une finale très fraiche avec un fruit très présent. Des notes mentholées.
Pas de doute : c'est un grand vin , j'en re-veux!
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