Ce qui n'était pas la volonté du réalisateur d'ailleurs, qui a sorti plus tard un montage contenant l'ensemble.
Comme pour Grindhouse.

Le Festin chinois de Tsui Hark (1995)

Comédie souvent navrante mais nantie de plans de oufs le film se transcende dans ses scènes de duels de cuistots qui m'ont offert un énorme fou-rire, lors de la confection du plat nommé Le singe sorti des flammes du volcan. Ma panda-meuf qui est très premier degré a été horrifiée par les ingrédients des plats, donc c'est pas pour tout public.

4,5/6, parce que la première partie est vraiment concon mais le reste est cool

John Wick de Chad Stahelski (2014)

Alors c'est ça le truc sur lequel tout le monde s'excite? Eh beh, il vous faut pas grand chose. J'ai du mal à comprendre ce qui lui vaut tout le buzz. C'est assez naze, le scénario tient sur un timbre poste et part d'un postulat assez ridicule, Keanu Reeves est transparent autant qu'inexpressif, c'est finalement une succession de stomb/gunfights assez mou du genou et pas très inventif et la plupart des personnages sont intéressants au possible.
Si encore le film avait assumé la connerie de son scénario pour pondre un truc fun et barré mais même pas, c'est très plan plan et chiant à mourir. Dans le genre, les deux The Raid sont bien plus cool.
(1,5/6)

Qui Etes-Vous, Polly Magoo ? De William Klein
Avant sa parodie de superhéros anti-américaine et soixante-huitarde Mister Freedom, Klein a réalisé ce film, jouissant apparemment d'un certain culte. Et si on y retrouve des trucs de Mister Freedom, comme un esprit critique et satirique, et un casting d'un autre monde (Jean Rochefort, Philippe Noiret, Samy Frey, Delphine Seyrig, Alice Sapritch et même Roland Topor!), on a aussi des éléments venant tout droit du parcours de Klein (la satire vise notamment les milieux du média et de la mode, et on peut ajouter qu'il y a pas mal de ses collègues photographes qui sont aussi au cast). Mais surtout, le film puise un peu partout, empruntant à la Nouvelle Vague Godardienne (avec un peu de décalage humoristique), au surréalisme de Bunuel, à du vrai-faux documentaire via quelques passages filmés en pleine rue, au slapstick, au cartoon, et même à la (parodie de) comédie musicale façon Demy, chanson de Michel Legrand à l'appui. Un côté collage (un format qu'on retrouve aussi, tiens), qui fait qu'on se perd un peu, se demandant si le film est vraiment un truc situationniste (je connais pas assez bien les trucs de Guy Debord pour en juger, mais ça me semble pas déconnant) ou si on est carrément face à une œuvre post-moderne. Ce qui est sûr, c'est que Scorsese l'a vu : La séquence du prince Samy Frey seul dans sa chambre, c'est carrément Rupert Pupkin dans La Valse des Pantins.

La Grande Menace de Jack Gold
Encore un film que je voulais voir depuis des lustres, ne serait-ce que pour son casting improbable (la rencontre entre Lino Ventura et Richard Burton) et son pitch super intriguant (avec un mec convaincu de pouvoir provoquer morts et autres catastrophe). On est donc face à un thriller fantastique à l'ancienne comme je les aime, avec une enquête à base de flashbacks plutôt sans temps mort ( et qui nous offre, via les transitions d'une temporalité à l'autre, les seuls moment où la réalisation est autre chose que fonctionnelle), et un final pessimiste et fataliste comme je les aime aussi. Bref, c'est bien cool, j'aime particulièrement les saillies vachardes du personnage de Burton, et je suis juste déçu que Ventura soit doublé dans la version anglaise : J'aurais trop aimer l'entendre speaker english like a spanish cow (enfin, « parmesan cow », en l'occurence)

Donc, d'après ce que tu dis, vu le niveau du film, je suppose que tu penses qu'il aurait du être rebaptisé... John Weak !



Je sais, je connais la sortie...

4/6

Je serais d'autant plus curieux d'avoir l'avis de Clint sur ce premier John Week

En tout cas, pour avoir vu le 4 vendredi soir vu que je suis allé au ciné un peu sur un coup de tête, je comprends un peu ce qu'il voulait dire dans son message posté dimanche dernier. Ça repompe énormément les idées des trois premiers - si ce n'est un plan séquence que j'ai trouvé intéressant voire impressionnant. Je ne sais pas si c'était voulu ou non mais Keanu semble bien fatigué dans cet opus, les bastons sont bien laborieuses. Ne parlons pas des nouveaux personnages auquel on essaie de donner un peu de fond sans que ça prenne.

Mais paix à l'âme de Lance Reddick.


J'ai d'ailleurs fait double séance, car j'ai enchaîné avec Shazam : Fury of Gods. Je n'en attendais pas plus que le premier, et il ne fallait pas puisque c'est aussi con-con au niveau de l'humour. Le scénario est sans surprise, et Zachary Levi traîne son côté déconneur comme un boulet dans les scènes d'action car il n'arrive pas à en imposer (c'était déjà un peu la même chose dans Chuck). Au vu des scènes post-génériques qui deviennent maintenant une mode, DC copie de plus en plus la méthode Marvel. Je vous laisse débattre du bien-fondé (ou pas). Bon, allez, j'avoue, j'ai quand même eu un fou rire grâce à une scène complètement débile qui a fait mouche me concernant.

J'aime bien.
C'est pas le film le plus fou de l'Histoire du cinéma mais c'est assez marrant à regarder. Ca cartonne, y'a du gun-fu, et une ambiance sympa.
Vu que je déteste Keanu Reeves (on dit qu'il est gentil mais je m'en branle, c'est un acteur minable), c'est un exploit de le voir tenir la route dans ce genre de prod.

Je kiffe le 2 aussi. C'est le meilleur des 4.
Le 3 est moyennasse mais ça fait encore illusion.

Le 4 c'est l'hallu tellement c'est bidon.
Stallone avait bien compris avec RAMBO 4 que si tu veux faire du débilo-bourrin, il faut concentrer la durée de ton film. Là on a une bouse qui s'étale pendant presque 3H !
C'est inadmissible pour un film de ce genre. C'est perdu d'avance. C'est trop long.

Passée l'intro (longue) où des vioques discutent de rien, on expédie le perso de Charon, et puis c'est parti pour trois (longues) bastons au Japon, en Allemagne et à Paris.
Tu as un Donnie Montagné botoxé qui traîne (longuement) sa misère, une jeune japonaise kawaii (si je dis "bonne", je vais me faire torpiller par la Ligue des Féministes Crétins) qui ne sait pas (longuement) se battre et un black qui sert à rien, mais alors à rien du tout, avec un clebs.
Y'a Scott Adkins, que je n'avais pas reconnu, déguisé en gros lard qui distribue (longuement) des cartes de poker avant de clamser et un méchant qui ressemble à un étudiant en médecine, Le Marquis de Balma.
On trouve aussi Marko Zaror, le gros bill que Boyka fracasse dans Undisputed 3, dans le rôle de quelqu'un, Larry Burne de Poisson qui vient faire des blagues, et une secte cheloue, genre (long) clip d'Era, qui brûle le bras de John pour qu'il retrouve une famille et puisse défier (longuement) le méchant étudiant.

A Paris, John monte et descend des escaliers pendant presque une heure et se fighte avec Marko au milieu de plein de voitures numériques. Ce n'est plus JOHN WICK, c'est IRON MAN le gonze.
On a aussi une (longue) fusillade vue de dessus dans un immeuble, vu que la prod' ne pouvait plus se payer de plafonds, durant laquelle John utilise un shotgun qui fait du feu comme dans les jeux vidéos.

A la fin, John fait un (long) duel au pistolet avec Gilbert Yen, tue le méchant Marquis, redevient solvable, puis tout le monde se barre en laissant le cadavre du vilain.
John meurt dans des escaliers des suites de ses terribles blessures, qui ne sont en vérité que des égratignures comparées à ce qu'il a pris dans le cornet pendant trois (longues) heures.
Il meurt le temps que les scénaristes décideront qu'il est mort hein. On ne me la fait pas.

C'est navrant comme film.
Une énorme merde boursouflée et sans le moindre intérêt.

Ha ouais 2 avis négatifs ça sent pas bon!

Double programme hier soir comme nous avions à garder la petite cousine de ma meuf ce week end


Raya et le dernier dragon (2021)

Nouveauté Disney glanée chez un pote via l'Albanie, la gamine semblait kiffer puis a décroché au bout de 30 minutes, probablement à cause d'une histoire de nuage zombifiant nébuleuse moi même j'ai pas accroché, l'impression de voir un menu best-of de films passés avec pour seule originalité des choix graphiques hasardeux.

Bah comme les films d'animation de synthèse me font chier assez vite sans histoire captivante j'ai coupé voilà Disney c'est plus ce que c'était j'aurai du prendre Pixar ou un truc Jap à la Totoro.

?/6 pour être poli

Crazy Kung Du de Stephen Chow (2004)

Toujours aussi réjouissant ce cartoon asiat live avec de vrais morceaux de grosses bastons câblées, ma meuf a particulièrement kiffé les gueulantes de la vioque qu'elle a qualifié de cris de banshees, me demandant de repasser les scènes en question. Elle est née en 2000 fait pas chercher à comprendre ça doit être un truc de TikTok.

Mais nous avons adoré voir ou revoir ce film! La musique est top aussi, servant des scènes iconiques et les gags font généralement mouche malgré la bizarrerie asiatique (la scene ou le gosse se fait pisser dessus a choqué ma gonzesse mais elle a semblé capter quand j'ai dit "c'est l'humour asiat bébė" hein voilà!)

5,5/6, pas loin du chef d'oeuvre de comédie d'action.

Si Clint était parisien, il aurait plus apprécié John Wick 4.

Les 3 Mousquetaires : D'Artagnan, c'est sans surprise avec des scènes d'action illisibles. On peut sauver le casting, mais ils sont très mal dirigés. Vous voilà prévenus.

Donnez tous vos avis sur JohnWik 4 ou sinon le 1 je prépare un topic avis chiffrés super sexy

En phase avec Clint sur les 3 premiers : le 1 sympa, le 2 meilleur, le 3 moyen.
Pas vu (encore) le 4.

Vu que le 1, je me souviens avoir trouvé la première scène d'action plutôt cool (celle où il headshot en quelques secondes les mecs qui viennent le buter) avant de comprendre que TOUS les gunfights du film étaient comme ça.

Et je parle pas du combat final mano à mano avec un perso qui n'a rien d'un combattant.

Ce succès est assez incompréhensible pour moi, d'autant que non seulement le film a crée un franchise, mais aussi pratiquement un genre, comme Jason Bourne avant lui (le John Wick de Charlize Theron, le John Wick de Bob Odenkirk...).

Torso de sergio Martino
Un giallo plutôt cool. Ca manque certes un chouilla de l'esthétisation et de la fétichisation des meurtres propre au genre (Martino, de ce que j'en ai vu, est un cinéaste plus rentre-dedans qu'autre chose), et l'enquête policière quant à l'identité du tueur est un peu nulle (on a plein de suspects, mais au final, le tueur se révèle de lui-même, exposant le pourquoi du comment en mode « on balance tout histoire d'avoir une explication », mais la construction du truc n'est pas trop mal, avec des meurtre quand même assez graphique, du sexe et du sang, et puis, si elle n'atteint pas les sommets de tension qu'on aurait pu attendre une fois la chose mise en place, la dernière demi-heure posent quelques moments vraiment sympa (la fille enfermée avec les cadavres de ses copines, le tueur qui rôde...)

A Couteaux Tirés de Rian Johnson
J'ai un problème avec les film de Rian Johnson : J'ai tellement aimé son premier film Brick que je suis fatalement toujours un peu déçu de ses films suivants, faute d'y retrouver le même sentiment d'affection. Aussi, après Les Derniers Jedis (qui nous laisse avec la curiosité de savoir ce qu'aurait été un SW9 qui aurait suivit la voie tracée par cette opus inégal mais original), j'étais en droit d'attendre le meilleur comme le pire de ce Knives Out. Parce que comme Brick, ça se réapproprie un genre du policier (avec Agatha Christie comme modèle plutôt que Dashiell Hammett), et que ça a eu un bon gros succès avec suite(s) et tout le toutim. Et c'est pas mal du tout. On retrouve la mise en scène de Johnson, avec de discret effets de caméras souvent bien sentis, et on retrouve son écriture maline, ici parfaitement adaptée au genre investi. Par contre, il manque ce pas-de-côté, cette approche un peu originale qui faisait la force de ses films précédents : On reste dans le whodunit à la Hercule Poirot / Miss Marple, le film ne prenant même pas le parti, pourtant esquissé à un moment, de faire de son détective central un mec à la ramasse, complètement dépassé par son enquête (ce qui aurait été cool).
Mais bon, ça reste un bon film d'enquête, avec une galerie de portraits au vitriol servie par un casting qui semble bien s'amuser, et nous aussi, par la même occasion.

Ouais, Brick ça fait vraiment partie des trucs méconnus et sous-estimé. Cette façon ultra maligne de mêler les codes du polar dans un univers teenage...

Jamais vu, c'est donc noté merci du conseil.

Le Festin Chinois de Tsui Hark
C'est assez étonnant, et en même temps un peu logique de voir que ce Festin Chinois a été le premier film du réalisateur a sortir en salle chez nous. Etonnant, parce que le bonhomme avait déjà une palanquée de chefs d'oeuvres à son actif à ce moment-là. Logique, parce que ce film est en fait un florilège de ce que le cinéma HK avait à offrir à cette époque: C'est une comédie, avec toute la lourdeur de l'humour cantonais, oscillant entre absurde nonsensique et gags de cours de récré, c'est un film romantique à la Wong Kar Waï (avec deux amants n'osant s'avouer leurs sentiments, des marginaux rêvant d'ailleurs), c'est un polar HK avec confrontations tendues entre gangsters, c'est un film d'art martiaux où des champions s'affrontent, chacun défendant leur style et leur école... Sauf que l'art martial en question est la cuisine. Hark rend ce côté "art martial" en filmant ça avec sa maestria habituelle. C'est hyper dynamique, on se perd un chouilla dans les sous-intrigues, mais on s'en fout (Et pour qui a vu Time And Tide, c'est gentillet), et on se laisse entrainer par la folie de ce truc. quitte à rire à des trucs vraiment nuls, et quitte à se demander si les chinois mangent vraiment de la patte d'ours ou de la cervelle de singe...

Golden Child, l'Enfant Sacré du Tibet de Michael Ritchie
Sorti alors que la carrière d'Eddie Murphy était au sommet, voilà un film qui se révèle étonnement faible, mal fichu, où Murphy et ses pitreries font figures de pièces rapportées. Et c'est le cas, le film ayant été écrit à la base pour Mel Gibson. De fait, on sent les reécritures (qui ont apparemment autant consisté à inclure Murphy qu'à adoucir le film pour en faire un truc tout public), et comme des trous dans la mise en scène, comme si il manquait beaucoup beaucoup BEAUCOUP de plans (apparemment, 45 minutes sont tombées en salle de montage). Bref, c'est bancal, rarement drôle, visuellement cheap par moment, et on a de la peine pour Charles Dance qui entâme assez piteusement son Typecast de bad guy hollywoodien.

Haaaa... Golden Child, l'enfant du Tibet... Je l'avais vu à sa sortie en salle à l'époque où je me jetais sur tout ce qui paraissait de près ou de loin comme "film fantastique".
C'était mi-figue mi-raisin mais avec mes yeux d'alors j'avais été indulgent. Pas sur que ça tienne un nouveau visionnage 36 ans après...

Brimstone de Martin Koolhoven
Un western néerlandais, même tourner avec des acteurs anglosaxons, ça intrigue. Quand en plus, ça se permet de revisiter la figure du vrai-faux pasteur vicelard et assassin façon La nuit du Chasseur, en poussant les potard sur le 11, on dit banco. L'ambition est là, et visuellement, le contrat est tenu, le film offrant quelques images superbes, entre naturalisme froid (on pense un peu à The Witch, sur des thèmes assez proches) et ambiance clairement fantastique. Je suis un peu plus circonspect quant au chapitrage/montage dans le désordre façon Tarantino, mais ça participe au crescendo du film, donc bon. Et puis une représentation somme toute réaliste de la banale mysogynie et de l'hypocrite violence des puritains protestants qui ont faits les US, si ça peut passer pour du wokisme (et spoiler alert : Si vous trouvez que c'est du wokisme dans ce film, vous êtes un con), c'est on-ne-peut plus pertinent aujourd'hui.
Et bon sang, qu'on file un Oscar à Guy Pearce! Voilà 10 ans que le mec incarne les meilleurs pourritures qu'on voit sur les écrans, et personne n'en parle !

Le Loup et le Lion de Gilles de Maistre
De Maistre noue refait grosso-merdo le même film que Mia et le Lion Blanc, y ajoutant un petit truc (indice: c'est un loup). L'avantage, c'est que ce postulat de départ improbable (comment réunir un lionceau, un louveteau et la fille qui leur sert de maman de substitution?) amène à un poil d'originalité et à un peu plus de relief dans le développement de l'intrigue. Il n'en reste pas moins que c'est assez cliché, avec des personnages caricaturaux, et que si c'est plein de bons sentiments, ça ne vole pas haut. Mais bon, les deux bestioles sont tichoux, et c'est limite si De Maistre, pour son prochain film, devrait juste ne pas se faire chier avec un scénario, et simplement laisser tourner sa caméra pendant que les boules de poils jouent ensemble...

Je remet un truc ici :
Avatar, the way of water de J. Cameron

Trop long. Trop con.
Entre chasse à la baleine et tribu Navi/Maori, réunion de famille avec des "Bro'" lâchés à tout va par des adolescents Navis neuneus, on peut dire que la montagne accouche d'une souris en terme d'originalité. Pour reprendre un ancien du forum Mad "il y a plus d'originalité au rayon fruits et légumes d'un supermarché Leclerc".
Idem pour le traitement de Quaritch, à qui on autorise de faire n'imp' pour sa petite vengeance personnelle alors que la Terre est en train de crever. Putain, les gars peuvent se poser où ils veulent sur Pandora depuis l'espace, mais non, ils viennent encore chier dans les bottes de Jack Sully. La planète qui fait 10km².
D'ailleurs, on troque l'unobtainium par du sérum de jeunesse éternelle pour je ne sais quelle raison mais si c'était moi, j'aurai cramé toutes ces gueules bleues depuis l'espace comme on le voit dans l'intro.
Un putain de bombardement orbital, Tabula Rasa sur des kilomètres histoire de faire bonne mesure.
Ne me dites pas que les humains n'en sont pas capables avec la technologie qui nous est présentée.

C'était beau, impressionnant en terme de technique, mais Dieu que c'était creux. Et dire que des milliards de dollars ont été investi, fallait peut-être penser à en garder pour payer des scénaristes valables.

3/6