France 4 va diffuser Goldorak (et Jayce et les conquérants de la lumière) à partir de fin octobre : https://www.leblogtvnews.com/2021/10/su ... nce-4.html

Goldorak est aussi sur ADN (tout du moins une partie). D'ailleurs la plateforme propose désormais un tarif dégressif pour récompenser ceux qui restent fidèles, avec le plafond le plux bas fixé à 4.79€ au lieu de 6.99€. J'aime bien l'initiative.

J'ai déjà la série en DVD. L'avoir revue à leur sortie m'a quand même fait remarquer des faiblesses importantes, notamment sur le plan du scénario avec certaines idées (la blessure d'Actarus, sa relation avec Vénusia...) mis en avant pendant certains épisodes puis complètement zappés.

Pour être tout à fait honnête, il y a quelques semaines j'ai tenté le premier épisode sur ADN par curiosité mais j'ai buté sur la VF.

Platinum end est un manga de Tsugumi Ohba et Takeshi Obata, le duo également auteur de Death note et de Bakuman. Il comporte 14 tomes et s'est achevé il y a peu. On a maintenant une adaptation animée effectuée par le studio Signal MD. 2 épisodes ont été diffusés et adaptent le premier tome du manga.
Le héros du manga est Miraï, jeune orphelin exploité par son oncle et sa tante et qui veut se suicider. Il est sauvé par un ange qui veut lui redonner goût à la vie et, pour cela, lui offre des ailes qui lui permettront de se déplacer à très grande vitesse et une flèche rouge qui lui permettra de rendre amoureux de lui (e, de fait, de pouvoir leur faire accomplir tout ce qu'il souhaite) tous ceux qu'elle touchera.

Il n'est cependant pas le seul à avoir ces pouvoirs (avec quelques variantes) : 12 autres personnes sont concernées et celle qui survivra à la fin deviendra rien moins que Dieu. Ce qui promet évidemment des alliances, des trahisons et des affrontements. On est en fait très proche de Death note sur pas mal de points, avec la créature invisible qui accompagne un jeune mortel ou de nombreuses règles et subtilités dans le maniement des ailes et des flèches qui sont dévoilées progressivement (notamment, pour l'animé, dans les eye catch). Ceci dit, le manga est beaucoup moins bavard que Bakuman ou Death note et Miraï n'est pas un connard dans le genre de Light. D'autres élus ont en revanche une moralité plus douteuse, comme on le voit avec les deux premiers rencontrés dans l'épisode 2.

En 2 épisodes, l'animé adapte le premier tome du manga. C'est plutôt agréable sans voler trop haut, avec ce qu'il faut de nunucherie mais sans censure, ce qui m'a surpris moins pour la violence que pour la partouze, vraiment laissé telle que dans le manga. Il y a pas mal d'humour (de critique de la société aussi), dû notamment au caractère des anges et à quelques dialogues surréalistes qui font qu'on ne sait pas toujours à quel degré prendre la série.

Platinum end est disponible sur ADN, Wakanim et Crunchyroll et également diffusé sur J.One.


La saison 3 de Kingdom vient en revanche de s'achever : mis à part les deux derniers épisodes sur la vengeance de Kyoukai, trop expéditifs (et j'espère que la coupure n'entraînera pas l'abandon du gag sur les objectifs que celle-ci a désormais), c'était très bon, bien meilleur que la saison 2 à mon sens. Il faut dire que l'union des 6 (puis 5) royaumes de Chine contre Qin est un gros morceau du manga et donne lieu à de nombreux rebondissements et à des affrontements entre une flopée de personnages charismatiques (mention spéciale à Karin), avec une très forte tension puisque c'est l'existence même de Qin qui est menacée.
La relative édulcoration des violences ne nuit pas au plisir pris en voyant cette partie de l'histoire animée.

Un remake d'Urusei Yatsura est annoncé : https://www.manga-news.com/index.php/ac ... tsura-Lamu

L'attaque des titans saison 2 épisodes 1 à 8

Dans un royaume hanté par des satyres géants anthropophages des humains s'organisent en équipes aériennes pour combattre les envahisseurs.

C'est donc ça la série qui excite les jeunes, des gros mongols à oilpé qui bouffent des gens en se faisant tailler la nuque par des hommes-ecureuils!

C'est pas moche et bien animé, avec des visions infernales dantesques d'hommes dévorés par des titans, la série est aussi validée par la fachosphere pour des raisons qui a l'instant m'échappent.

Les épisodes sont courts et plaisants à suivre et développent bien les personnages, les titans apparaissent volontiers pour relancer le bouzin.

5/6

T'inquiète ça va venir.

L'attaque des titans - Fin saison 2

On en aura vu se faire croquer des bonshommes, par les bras, par la tête, alouette! RDV à la saison 3 pour tenter d'éclaircir cet embrouillamini medieval et de pourquoi certains persos se transforment.

C'était dans les tuyaux depuis un moment et c'est désormais fait : les catalogues de Funimation et Wakanim vont être transférés sur Crunchyroll, avec un abonnement inchangé pour le moment sur le poids lourd de l'animation.

"La plus grande collection d'anime au monde", mais Serial Experiments Lain toujours introuvable hors Albanie.

En streaming*

Ça fait bien longtemps que j'ai abandonné le format physique, question de place.

Gros problème, la place, effectivement. Malgré ça, je n'arrive toujours pas à me mettre au streaming (ou à la lecture en ligne) autrement que de façon ponctuelle.

Le support physique dans mon cas c'est uniquement pour ce que je suis sûr de regarder à nouveau. Ce qui arrive assez rarement.

Quoi qu'il en soit, cette fusion reste quand même une offre intéressante (pour l'instant ADN reste en place, ça tombe bien parce que j'aime bien la plateforme avec ses animes vintage, malgré une expérience Chromecast qui laisse un peu à désirer).

Suite à un piratage, les animés de la Toeï (One piece, Digimon, Dragon quest et Precure) sont suspendus jusqu'à nouvel ordre.

https://hitek.fr/actualite/toei-piratee ... ning_33710

https://recenthighlights.com/wp-content/uploads/2020/08/Iruma-Kun-Season-2-1024x533.jpg

Iruma à l'école des démons est un shônen toujours en cours dont 26 tomes sont sortis au Japon (avec prépublication dans le magazine Akita Shoten) , 13 en France (chez Nobi Nobi). Les couvertures ne m'avaient pas intéressé et j'étais passé à côté mais, le premier tome ressortant dans le cadre des 48 heures de la BD, je l'ai acheté, sans trop d'attente. A la lecture, j'ai été séduit par son humour et, avant de décider d'acheter ou pas le manga, j'ai voulu regarder son adaptation animée, 2 saisons étant disponibles sur Crunchyroll. Après visionnage de la première, constituée de 23 épisodes et qui adapte les 5 premiers tomes du manga, tout le bien que j'en pensais a été confirmé.

L'histoire est celle d'Iruma Suzuki, un gentil enfant qui ne sait rien refuser à ceux qui lui demandent un service et qui est exploité par ses parents, lesquels finissent par le vendre à un puissant démon. Un début qui rappelle un peu Hayate the combat butler, avec lequel on retrouve d'ailleurs d'autres points communs : l'"adoption" par une famille riche, un côté harem (moins prononcé toutefois), la présidente du conseil des élèves rigide mais amoureuse du héros...
Par chance, Sullivan, le démon en question n'est pas véritablement méchant mais veut adopter Iruma et va se montrer un papy gâteau avec lui.



Il va également l'inscrire à une école de démons dont il est proviseur, et ce alors même qu'Iruma n'a, a priori, aucun pouvoir magique. A cette école, Iruma, chouchouté par son proviseur, va subir quelques déboires mais s'intègre aussi assez bien, notamment grâce à sa gentillesse, à des quiproquos et à une grande capacité d'esquive due à l'expérience acquise sur Terre pour se tirer des ennuis.

Comme avec Mashle, on est dans un Harry Poter like. L'école a ses tensions et ses règles, on découvre un certain nombre de professeurs (dont un qui ressemble un peu à Rogue mais est traité de façon plus comique) et d'élèves qui vont devenir amis avec Iruma, ainsi que des systèmes de classement et de maisons liés aux capacités des élèves. Outre ce manga et Hayate, on a aussi quelques points communs avec My hero academia
L'univers est intéressant, avec des débuts d'explication qui donnent envie d'en savoir plus ; les protagonistes sont attachants. J'ai trouvé Clara touchante, avec son enthousiasme et sa volonté d'être acceptée par les autres, même s'ils ne le font que parce qu'ils peuvent utiliser ses capacités - au fil des épisodes, elle devient en revanche un peu agaçante à coller tout le temps Iruma et elle souffre d'une voix trop stridente. Et l'humour est, pour moi et contrairement à un Mashle, très efficace, avec des dialogues dynamiques et des dessins qui mettent bien en valeur l'absurdité des situations.

Le manga a du potentiel pour évoluer vers quelque chose d'un peu plus important, avec le thème des démons qui veulent massacrer les humains (l'hymne de l'école est d'ailleurs sur ce thème :



Il ne le fait guère dans cette première saison, hormis dans quelques passages assez réussis de l'arc de la fêtes des batoras (l'équivalent des clubs scolaires). Le méchant de l'histoire y a un passé triste cliché et pas très intéressant mais la façon particulièrement malsaine dont il y réagit est réussie et lui donne quelques moments assez flippants. Je parlais d'Hayate au début : le manga lui ressemble sur plusieurs points et avait su évoluer de façon inattendue au 17ème volume. Peut-être Iruma le fera-t-il plus tard - après l'équivalent de 5 volumes, il est trop tôt pour trancher sur ce point. Peut-être ne le fera-t-il pas. Cela ne me dérangerait pas : le dessin animé me plaît beaucoup tel qu'il est et, en comparant les 5 premiers épisodes au premier tome du manga, il lui est fidèle, avec quelques caméos plus précoces (Amélie) et quelques gags en plus.

La galerie de personnages est, après seulement 5 tomes, déjà très vaste et va probablement s'enrichir : plusieurs personnages ont déjà été bien développés, d'autres seront probablement amenés à l'être mais ont déjà une ou deux caractéristiques qui les rendent assez attachants pour donner envie de s'intéresser à eux et pour faire rire. Le fanservice est très peu présent : certains personnages féminins ont de la poitrine mais l'animé n'en joue pas spécialement (peut-être de la censure par rapport au manga ? On verra quand je le lirai); les quelques gags autour de l'obsédé de service (l'équivalent de Minoru dans My hero academia) ne vont jamais très loin et ne sont donc pas lourds.

Parmi les défauts, je trouve surtout qu'Asmodeus et Clara sont un peu trop pots de colle avec Iruma, même si ça donne aussi lieu à des passages amusants et à quelques moments touchants. Ca n'est cependant pas suffisant pour ternir l'excellente impression que m'ont laissé le premier tome du manga et la première saison du dessin animé. Je vais enchaîner assez rapidement sur la saison 2 (d'autant plus qu'il y a un twist assez inattendu à la fin du dernier épisode, même si ça semble un peu sortir de nulle part) ; la saison 3 est prévue pour la fin de l'année.

Pas mal de débuts et de fins de saisons/séries en ce moment. Quelques avis, plus ou moins courts. Sur les débuts :
Urusei Yatsura : le remake de l'adaptation du manga de Rumiko Takahashi. C'est globalement fidèle à l'original, avec un début rythmé et amusant - et parfois assez vache, avec notamment la mère d'Ataru qui regrette (à 2 reprises dans le premier épisode) de ne pas avoir avorté de son fils. Au niveau des différences, j'ai l'impression qu'Ataru a un plus beau visage que dans l'adaptation originale, même s'il a aussi droit à quelques faces grotesques. Enfin, difficile de savoir à quelle époque se passe cette adaptation : dans les années 70-80, comme le laissent penser la télé ou le téléphone présents dans l'épisode ; ou actuellement puisqu'on voit un smartphone dans le générique de début et qu'Ataru demande son 06 à une fille dans le teaser ? J'ai quand même l'impression que ces références plus récentes ne seront pas dans l'histoire elle-même mais seulement dans des éléments annexes et que tout se passera dans les années 70-80.
A noter aussi que tout n'est pas adapté. J'ai comparé avec le manga : sont adaptés pour l'instant les chapitres 1, 4 (avec l'arrivée de Sakura), 5 et 16. Le teaser de l'épisode 3 annonce l'arrivée de Mendo (chapitre 23) sans qu'on n'ait vu auparavant l'introduction de personnages récurrents comme Rei, la princesse Kurama ou Oyuki

Blue lock : un animé consacré à un sport collectif et qui met en avant l'individualisme (au travers d'un programme d'entraînement destiné à fournir un buteur vedette au Japon), c'est rare et ça laisse un peu sceptique. Va-t-il tenir sur ce postulat dans la durée ? En attendant la réponse, les 2 premiers épisodes sont agréables à suivre, avec son héros altruiste à l'origine et qui va devoir se remettre en question. La première épreuve pour départager les 3 candidats était bien barrée, même si l'entraîneur fournit des explications convaincantes (du moins compte tenu du postulat de l'oeuvre).

Chainsaw man : première moitié d'épisode intéressante sans plus, deuxième moitié (lorsque le héros acquiert ses pouvoirs) trop gore pour moi. Sans surprise, j'arrête là.

My hero academia saison 6 : les héros lancent l'assaut contre les vilains menés par Tomura. Pas d'épisode résumé pas intéressant cette fois-ci, on est directement dans le feu de l'action avec quelques scènes épiques (Mirko) ou tragiques et touchantes (Twice). Les stratégies sont bien pensées de part et d'autre - mais surtout du côté des héros pour le moment - avec des personnages qui réfléchissent avant d'agir et une très bonne utilisation des capacités qu'on a vues au cours des saisons qui précédaient.

En fins de séries/saisons :

Kingdom saison 4 : avis mitigé, comme pour le manga. Si j'ai bien aimé la guerre contre Wei et Go Houmei, la très attendue fin de la lutte contre Ryo Fui (qui occupe la majorité des épisodes) est un peu décevante. Si, du côté d’El Sei, les protagonistes sont à la hauteur (y compris de façon inattendue, comme Sei Kyou qui a bien changé depuis sa tentative de coup d’état qui avait marqué le début du manga), du côté de Ryo Fui, à part celui-ci, c’est un peu décevant : ses piliers le trahissent (Shouheikun), ne font rien (Moubu, Seitaku) ou agissent mais sans résultats visibles (Rishi). Biki forme un couple étonnament attachant avec Rouai mais se fait manipuler facilement par Ryo Fui et se montre bien moins dangereuse que ce que l’on pouvait supposer lors de sa première apparition.

Heureusement, il y a Ryo Fui qui, même s’il n’est pas un combattant, se montre un adversaire de haut niveau lors de la confrontation avec le roi, confrontation qui nous offre une belle passe d’armes, aussi philosophique que politique. Maintenant, j’attends avec impatience la guerre contre Zhao.



Tonikaku kawaii : une série assez courte pour le moment (14 épisodes, dont un épisode-résumé et une OAV ; une deuxième saison est prévue ; le tout est disponible chez Crunchyroll) qui adapte un manga de Kenjiro Hata toujours en cours et comportant déjà une vingtaine de volumes. On y suit Nasa Yuzaki, jeune garçon agacé par le prénom qui lui ont donné ses parents et qui, pour éviter les railleries, s’est donné à fond dans ses études. Alors qu’il doit bientôt passer un examen d’entrée dans un lycée réputé, il tombe d’une part sur une jeune fille pour lequel il a instantanément un coup de foudre, d’autre part sur un camion qui le laisse dans un piteux état. Sauvé par Tsukasa, il lui demande de sortir avec lui, ce qu’elle accepte à la condition qu’ils se marient d’abord avant de disparaître. Elle réapparaît 2 ans plus tard et rappelle sa promesse à un Nasa qui accepte immédiatement, étant donné qu’il ne pensait plus qu’à elle (au point d’abandonner ses études) depuis leur rencontre. Il faut dire que Tsukasa est trop mignonne (ce qui doit être à peu près la traduction du titre au vu des sous-titres du dessin animé) ; mais elle est également très mystérieuse.


Kenjiro Hata est l’auteur d’Hayate the combat butler, également disponible chez nous en manga et en dvds. On retrouve dans Tonikaku kawaii des points communs (certains passages montrent d’ailleurs que les deux mangas se passent dans le même univers, même si cela ne reste qu’un clin d’oeil) mais aussi des différences notables. Les personnages sont notamment beaucoup moins exubérants que ceux d’Hayate, même si un épisode de compétition de jeu vidéo sur Street fighter est assez grâtiné ; les parents de Nasa, même si ce ne sont pas des flèches, sont sympathiques ; le couple principal est rapidement formé…

Au niveau des points communs, outre le design très proche, on retrouve beaucoup de références à des mangas et aux dessins animés (Slam dunk, L’attaque des titans, One piece…), Tsukasa en étant très fan comme l’était Nagi. Certains personnages sont aussi très riches, même si cela a pour l’instant moins d’importance que dans Hayate, et il y a des soubrettes. Enfin, même si c’est de façon différente, l’aspect fantastique est aussi présent et on s’interroge régulièrement sur les origines de Tsukasa, qui semble être beaucoup plus âgée que son apparence ne le laisse supposer et sur ses éventuels liens avec le mythe de la princesse Kaguya. Le sous-titre du manga est d’ailleurs Fly me to the moon


Au-delà de son humour et de ses mystères, cependant, le gros point fort du dessin animé reste son couple : pour reprendre le titre du manga, il est trop mignon. Il a aussi le mérite de se former rapidement ; Nasa et Tsukasa se tiennent assez vite la main (alors qu’il faut parfois attendre des dizaines de tomes dans d’autres mangas) et l’étape du bisou survient également assez rapidement ; on est même pas loin de voir les personnages conclure à la fin de la saison et je pense que ça se produira, chacun des personnages pouvant être entreprenant et faire des avances à sa façon à l'autre. J’aime bien aussi voir les petites attentions qu’ils ont l’un pour l’autre, leurs inquiétudes, leurs désirs… Ca les rend très humains et attachants et donne envie de passer du temps avec eux, qu’il se passe des événements importants ou non.

Le générique de début est tout à fait dans le ton trop mignon du manga :



Fin d’une grosse série avec Dragon quest. Du coup, ça laisse du monde à la Toei pour une nouvelle série : un retour de Dragon ball super (ce n’est pas une obligation…) ?

Malgré une censure regrettable de l’humour grivois (pauvre Matoriv) et 2-3 changements plus ou moins réussis et justifiables (je regrette la disparition des 2 monstres qui se ralliaient à Chu lors du combat sous le palace de Vearn ; les modifications du premier épisode ne m’ont en revanche pas dérangé), cette adaptation a vraiment été une réussite, globalement fidèle au manga et qui, contrairement à l’adaptation animée des années 90, a surtout eu le mérite d’aller jusqu’au bout.

Fidèle au manga, elle a donc ses défauts (trop de résurrections et de ralliements des méchants aux héros) mais surtout ses qualités, avec de nombreux moments touchants, des personnages charismatiques et parfois complexes, capables d’évoluer au fil des épisodes, des plans machiavéliques du méchant principal, des retournements de situation (crédibles dans la plupart des cas) et des combats intenses. J’ai donc suivi le dessin animé avec beaucoup de plaisir. Je regrette quand même qu'il n'y ait pas eu une petite minute rajoutée à la fin du dernier épisode.

Pour Dai, c'est la classe de teminer sur le chiffre symbolique de 100 épisodes. C'était effectivement très agréable à suivre, avec come tu le soulignes les mêmes qualités et défauts que le manga car l'adaptation est très fidèle.

Je me force à retrouver le goût de l'écriture en ce début d'année et comme je me tourne pas mal vers les animes ces derniers temps, j'essaierai de poster de temps en temps...

Je n'ai pas vraiment commencé de nouvelles séries pour le moment. Pour celles que je suis en simulcast :
avec One piece, on est dans le top de l'arc Wa en ce moment et la Toei se donne les moyens avec des attaques grandioses lors des combats de Kaido contre les supernovaes et contre Yamato. J'adore vraiment ce dernier personnage et regrette d'autant plus un choix futur d'Oda sur ce sujet, choix qui me rend Mononosuke assez antipathique, même s'il n'a pas voulu ce qui se passera.
J'ai hâte de voir la dernière phase du combat Luffy-Kaido : si le niveau se maintient, ça va être une tuerie.
My hero academia : l'arc de l'assaut des vilains était spectaculaire (notamment les attaques de la fille lapin) mais un peu longuet. J'ai en revanche beaucoup aimé le dernier épisode sur Endeavor et sa famille, qui met bien en avant la complexité de sa situation, ses responsabilités et sa volonté de changer. Je trouve que le travail fait autour de tous ces personnages est un des meilleurs aspects de ce manga.
To your eternity : toujours sympa, même si ça avance assez lentement avant le grand combat contre les knockers.
Urusei Yatsura : c'est toujours fun. Comme elle ne veut pas tout adapter, la série se centre pas mal sur les épisodes faisant apparaître de nouveaux personnages. Ran est peut-être ma préférée avec son sale caractère et sa rancune (pas forcément injustifiée : on se demande, dans l'épisode consacrée à son enfance avec Lamu, à quel point celle-ci l'a fait exprès à chaque fois).
Blue lock : je continue à regarder mais le concept hyper-individualiste me dérange toujours dans le cadre d'une série sur un sport collectif.

Et redécouverte de Magical Doremi puisque j'ai trouvé un site qui propose les épisodes en VOSTF : j'en suis à l'épisode 27 de la première saison et c'est aussi bon que dans mes souvenirs, avec des musiques entraînantes, un humour délirant (les entrées en scène de Dela), des personnages attachants, une histoire et des personnages qui évoluent (les gadgets magiques aussi au passage, histoire de vendre un maximum de jouets) et également quelques passages qui prennent aux tripes (les épisodes 11 et 14, par exemple).