Il est très américain, très patriote, fan de hair-metal des années 80 et il a pour compagnon un aigle domestique irrésistible voici Peacemaker que la plupart des gens prennent pour un super-méchant car il a la gâchette facile.



Premier épisode cool, on découvre l'équipe et surtout l'aigle qui est super en side-kick avec son lot de pitreries telles que donner l'accolade à Peacemaker ou lui ramener des cadavres de belettes. Le reste de l'équipe considère Peacemaker comme un criminel de guerre donc ça connecte pas trop. Ya aussi un collègue super-slibard qui lui passe des coups de fil et qui a l'air furieusement gay tout en s'en defendant. L'épisode ne semble rien promettre de fou à part l'ordre de mission mais vers la fin y'a une grosse baston avec une tueuse, la real est digne d'un bon film d'action avec notamment John Cena qui traverse un mur c'est cool.

Deuxieme épisode ca commence au taquet avec un John Cena en slibard pissant le sang de trois coupe de couteau poursuivi par les keufs pour avoir explosé un parking en testant son nouveau casque. Ha mais je vois au generique que c'est réalisé par James Gunn himself d'où l'efficacité de la série. On apprend que l'aigle est friand de chips, putain j'adore cette bestiole! Notre héros encercle dans un immeuble trouve le moyen de se retrouver dans un plan candauliste avant de devoir fuir d'une manière particulièrement douloureuse. Le hair-metal est vraiment présent on sent qu'il y aura une chanson mise en valeur à chaque épisode en plus de celles qui servent de bande son. Hanoi rocks, Quire Boys, FireHouse, Cinderella, notre antihéros à vraiment des goûts de merde. L'épisode se conclue sur une séance de tir qui ravira Charlton et une révélation consternante sur le papa du Peacemaker.

6/6, dans le genre série d'action qui se prend pas au sérieux ça démarre très bien.

"Tu ne peux pas dresser un aigle mon gars.
À moins de lui voler son âme."

Ce générique de toute beautay!


Épisode 3 ça envoie toujours du bois avec l'exécution du contrat (catastrophique) et autres conneries (le mec qui fait des grimaces pour qu'on le reconnaisse pas sans sa cagoule). A noter aussi une blague assez chaude pour la télé. L'intrigue autour des papillons s'épaissit et ca prend une tournure fantastique bienvenue.

C'est cool cette série ça bouge bien, c'est débile, c'est validé!

Pas d'Eagly dans le 3 mais c'était bien quand même. Seulement 8 épisodes, mais avec ça y'a de quoi faire nettement plus.

Je me suis mis à jour sur les films DC il y a à peine deux semaines alors que ce n'était pas du tout prévu (je n'avais vu que Man Of Steel) et je me suis surpris à apprécier, et j'ai plutôt bien aimé le dernier The Suicide Squad donc j'ai jeté un oeil sur les deux premiers épisodes. C'est plutôt sympathique, ça mérite d'y accorder un peu d'attention.

Peacemaker épisode 4


Do ya really wanna, do ya really wanna taste it?
What's going up must come down
Do ya really wanna, do ya really wanna taste it?
Baby, you're losing ground
Blind to what you'll soon become
The mirror lies, the whole world's wrong but you
Dancing with blinkers on
Throw your dog the invisible bone

Que faire quand on est un super-heros et qu'on a un père raciste? Peut-on profiter de ses services? Doit-on le mettre hors d'état de nuire? Doit-on le visiter en prison? Doit-on se battre avec un nain judoka en sortant? Doit-on sauver son père si Vigilante influencé par les collègues de Peacemaker s'infiltre dans la prison pour le tuer? Doit-on faire des soufflettes à des espaces de sauterelles bleues de l'espace gardees dans des bocaux?

Beaucoup de questions, quelques réponses et toujours du hair-metal a décorner les boeufs dans cet épisode de transition.

"Je suis juste le gars qui va te baiser si fort que ton trou du cul va trainer derrière toi comme une queue"/6

Episodes 1 à 4 vus : C'est comme j'aime !
Con avec de l'action et une putain de BO sans jamais être trop forcé dans la stupidité. Par contre on voit que le petit père John Cena est co-producteur dans la manière de faire évoluer son personnage débile de PeaceMaker avec ses crises de conscience... Surprise également, l'ancien catcheur arrive à être à la hauteur en terme d'"acting" quasiment tout le temps et ça a le mérite d'être souligné.
Enfin, revoir Robert Patrick m'a fait mal au bide en voyant le poids des années. C'est la vie.
Bref, une bonne petite série qui ne pète pas plus haut que son cul avec une histoire cohérente, des acteurs à fond, de l'humour gol et de l'action tout aussi gol. Ça détend bien le slip en ces temps troublés....

Episode 7



Il n'en reste plus qu'un et la saison est finie

Episode 8
Une fin bien sympathique, qui soude encore plus le groupe. Un épisode qui termine sur Eagly ne peut-être qu'excellent...


-LOSERS

Feu vert pour une saison 2

Stand by pour ma part suite à une perte temporaire du goût de la gaudriole puis la découverte de SNK mais je binge ça ce week end

Fini.
C'était sympa et surtout, ça ne perdait pas son temps en filler lourdingues : le truc file droit, que ce soit le sort du père de Peacemaker, la résolution de l'invasion des Papillons ou le bodycount.
Les persos sont quand même sacrément géniaux et le duo Vigilante/Peacemaker et à se pisser dessus de rire...
Seul bémol, la grosse black qui sert à mettre en place Waller et son plan. Difficile à expliquer, son perso étant rarement crédible dans les scènes d'actions (alors que son wiki la présente comme "tireur d'élite", compétence qu'on voit à la fin mais l'actrice galère tellement que ça en est ridicule) ou forcé dans les scènes "drama" et on se demande (comme tout le monde d'ailleurs dans la team) ce qu'elle vient foutre là. Ormis comme taupe bien évidemment.
Bref, sympa mais en one-shot. Pas sur que la magie opère pour une saison 2.

"GO FUCK YOUR FISHES"

Fini hier soir désormais on sera plus cultivé en matière de hair-metal,
on aura vu John Cena se battre avec un gorille,
on saura se méfier des papillons bleus,
c'était bien sympa comme saison maintenant on veut une série sur la Belette!



5/6, Do ya really wanna, do ya really wanna taste it?
What's going up must come down
Do ya really wanna, do ya really wanna taste it?
Baby, you're losing ground

Blind to what you'll soon become
The mirror lies, the whole world's wrong but you
Dancing with blinkers on
Throw your dog the invisible bone