Une série sur mesure pour Sylvester Stallone qui prend un panard taille 56 à incarner ce mafieux ayant purgé 25 ans de taule pour pas balancer ses associés et pestant contre les telephones portables et les services qui refusent du cash. Il doit s'eloigner de New York pour développer le biznezz à Tulsa, Oklahoma alias Péquenaud-Ville. Le premier épisode commence fort puisqu'il baise une agent de l'ATF rencontrée dans un bar avant de lui reveler son age (75!). Sacré Sylvestre, si les feministes tombent la dessus il va prendre cher, cest assimilé à un viol, il y a meme eu un procès car cest assimilé à un viol par suprise.

Sylvestre prend ensuite le controle d'une boutique de beuh en balancant un thermos de kawa dans la gueule du vigile et apparait à la fenetre de son hotel, grommelant que cette ville est desormais à lui tel un vieux lion radotant dans sa pisse.

L'épisode 2 reste sur la meme lancée puisqu'apres s'etre gavé de confiture à l'abricot et à la beuh Sly nous sort une diatribe contre le language inclusif et plus particulièrement les pronoms. "Moi quand j'tais un gamin de Brooklyn je savais qui j'étais! Ou peut etre que non" lance t il en tirant sur un gros spliff!


Et bien ces deux premiers episodes etaient sympas et la série jouit de bonnes critiques, je demarre donc ce topic de toute facon dans l'esprit d'Impact nous devons hélas traiter tout ce qui touche de pres ou de loin Sly et l'autre autrichien balaise.

4.5/6, une bonne série détente à savourer dans son fauteuil Everstyle en suçotant des Werther's Originals car les gens exceptionnels ont le droit à un Werther's Originals.

J'ai regardé le premier épisode, mais je n'ai pas poussé plus loin, assez divertissant mais sans plus. J'ai un problème avec les série de Taylor Sheridan, je n'arrive pas à accrocher, j'ai regardé le premier épisode de Yellowstone, j'ai pas accroché, et j'ai laissé tomber, pareil pour la série avec Harrisson Ford, Yellowstone 1923.

Mais le coté positif au vu de la déception de The Penguin, il est possible que je me remette à Tulsa King, je suis pas pressé de voir le prochain épisode de The Penguin.

Merde ça me tentait le pingouin

Bon bah j'ai fini la saison au rythme d'un episode de 40 minutes par soir, idéal pour un gars dont le reveil sonne à 5h15 du mat. C'est pas follement original mais c'est chaleureux. On se sent bien quand les gars sont réunis au bar autour de leur male alpha au grand coeur. Le dernier épisode en fait d'ailleurs des caisses dans le registre "on est quand meme une chouette bande de potes qui se sont sacrément bien trouvés!" On a aussi une baston/fusillade relativement breve mais intense avec un piege efficace qui rappelle le dernier Rambo et la mise à mort d'un gus par Sly contre un mur, il est vraiment convainquant pour son age, ils lui font pas faire des trucs de ouf mais quand il balance une peche avec sa carrure c'est crédible, il a un peu fondu en plus il a l'air plus svelte. Il faut savoir que les gars trop bodybuildés sont evidemment bons pour soulever des trucs par contre il perde beaucoup de punch (la masse devient trop supérieure à la vitesse) et avec leurs grosses épaules ils ne peuvent plus fermer leur garde pour proteger le foie. Mais le Sly de 75 ans il a un physique de mafieux qui a taté du banc de muscu en zonzon, il est crédible.

Le casting est cool, les bastons et explosions n'ont toujours été qu'un pretexte pour que Sylvestre puisse réunir des bandes de potes et il a donc choisi des gars qui lui plaisent, on sent que tout le monde s'aime bien. Mention spéciale pour le personnage de BatFace, indien furibard régulièrement impliqué dans des esclandres et qui manque de peu de se taper avec Sly lors de leur premiere rencontre avant qu'ils ne deviennent potes. Il faut voir Sly demander au boss des indiens " tu pourrais me preter 2-3 mecs comme BatFace?" ou encore jurer "Bon sang j'adore ce mec" quand il apprend qu'il est parti en taule pour avoir cassé la machoire d'un flic. Les flics ont plutot le sale role dans cette série, Sly est républicain c'est cool de sa part. Il baise une de leurs enquêtrices et il envoie chier deux condés de base en les menacant de leur faire la peau si ils persistent à lui coller aux miches. Non vraiment c'est une série plaisante comme un vieux t-shirt de hard-rock, on se sent bien dedans.

5/6, un peu moins en vrai mais c'est vraiment le spectacle idéal pour un gars qui se leve à 5h15 du mat

Et c'est reparti pour une troisième saison des aventures de Sly Stallone dans le role de ce cuistre mafieux colonisant la petite ville de Tulsa. Dans cet épisode d'ouverture il convoite une distillerie mais se voit rebuffer lors des négociations, jusqu'à se voir refuser le double du prix car la vente est réservée à ce qui semble etre le grand rival de cette saison un espèce de vieux richard traditionaliste.
On reprend evidemment tout ce qui a fait le sel des saisons passées: les appels telephoniques virils avec Frank Grillo, le perso du barman/vendeur de bagnole à la Bon Jovi qui séduit, et c'est un classique de la serie aussi, une bonasse à généreux décolleté. Et si Sly caste ces poulettes ces bien pour toi, spectateur, car lui s'est réservé une mamie (Dana Delany de Desperate Housewives grasse comme un chapon et sapée en cow boy à jupons). Il y a aussi le geek qui gere le coffee shop et qui veut imposer des jams horribles à la Grateful Dead dans sa bagnole electrique lors d'un voyage pour regler la part des benefs de Frank Grillo (SPOILER: il a confondu le sac avec le fric avec un contenant des brochures sur le CBD, provoquant l'ire de Frank Grillo ainsi qu'un echange telephonique viril mais correct avec Boss Stallone)

C'est peut etre la une des dernieres oeuvres de Sylvestre qui parait deja plus vieux que dans la premiere saison, on se demande si il fera encore le coup de poing ou au moins de flingue en tout cas ca va c'était sympa

4,5/6, confortable comme une vieille charentaise difforme et boulochée

Episode 4

Vous voulez que je vous résume la formule de cette série en quelques mots? Sly monte un coup, se fait doubler puis ramene une équipe pour une grosse baston de bar avec parfois des armes pour recuperer son bien mal acquis. Je trouve l’inéluctabilité de cette formule hilarante, d'autant plus dans cette épisode avec un Frank Grillo faché comme un babouin en pleine crise hémorroïdaire et qui en prime menace de se retourner contre Sly en faveur d'un méchant plus intéressant que celui auquel on s'est habitué cette saison.

Quelque part je comprends les piques contre le créateur de la série car on a l'impression qu'il n'y a ici aucune création, tout est fait pour servir un personnage sur mesure pour Stallone.

Mais moi ça me fait rire tout ça, un peu comme les scenes entre les scenes d'action de The expandables ou Sly joue les durs avec ses potes et ses invités

4/6, saine amitié virile quand tu nous tiens