Démarrage le 17 novembre



Entre ça et Godzilla Minus One, c'est la tempête dans mon caleçon.

Même si je sens qu'une partie du casting va m'énerver, que les streums vont avoir un temps d’apparition réduit et que le SFX vont être correct mais pas ouf, j'attends avec impatience cette série.
On peut rêver d'une bonne surprise ? C'est déjà inespéré que Godzilla ait bénéficié d'un traitement honorable depuis le début des films Legendary, pourquoi pas une série du même acabit ?

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Vous l'avez senti venir l'arnaque?
Déjà quand j'ai vu le nom de Matt Fraction crédité comme co-créateur, j'ai eu un mauvais flashback. Parce que le monsieur était, il y a 10 ans, scénariste de comics pour Marvel. On lui doit de longs runs sur X-Men et Iron Man et disons qu'il n'était pas un très bon scénariste à l'époque. Aujourd'hui, je serais peut être un peu moins méchant (Bendis est passé par là) mais il était un bon partisan de la narration décompressée, l'un des mal du comics moderne, ce qui explique pourquoi ses travaux sont un peu plus digeste en s'appréciant sur la totalité plutôt que par arcs narratifs.

Cette série Godzilla est une version très américanisé et standardisé de la bestiole. C'est un peu l'écriture de séries pour les nuls. Les monstres apparaissent le temps de deux petites scènes (un combat très sympa entre une araignée géante et un gros crabe en intro et une apparition très jolie de Godzilla dans la brume), le reste c'est donc des persos emmerdant auquel on colle un background dramatique façon soap, des dialogues pas très inspirés, une écriture médiocre et une mise en scène très fade. On a l'impression de voir un série produite sur une chaîne mainstream US il y a 10 ans. Pas très engageant pour la suite.

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Ahem.
Une série qui démarre donc avec une certaine plasticité narrative puisqu'on suit des événements liés en parallèle entre 1952 et aujourd'hui. Inévitablement, on nous présente une brochette de personnages (tête à claque pour certains) nappée d'un coulis "drama" qui n'étonne plus et une ambiance sonore fort sympathique. La mise en forme est pas honteuse, avec des dialogues sommes toute banals mais rythmé avec l'utilisation de l'anglaise et du japonais en alternance pour donner un certain dynamisme entre les échanges.
Visuellement c'est pas fou, les CGI étant parfois à la ramasse. Et l'histoire.... Mouais. Les méchants un peu craignos / inspecteur gadget amenuisent largement la menace.
Bref, 2 épisodes d'introduction pas désagréables à suivre mais on sent vite la carotte arriver : 10 secondes de streums dans le premier, et un gloumoute moche en fin de deuxième.
Vous l'aurez compris : la tronche de Godzilla n'est pour l'instant présente que dans des flashbacks et j'ai peur que le scénar soit plus axé sur la double vie du Dr Hiroshi Randa (ce chaud lapin) que par la chasse aux Titans.
J'attends de voir la suite avant de juger.

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Un épisode (série ?) toujours un peu le cul entre deux chaises. D'un côté, la naissance de l'organisation "Monarch" dans les années 50' et tout ce que ça implique au sortir de la IIème guerre mondiale est sympa, autant les péripéties modernes restent franchement molles.
Quelques petits trucs qui chiffonnent aussi : on a droit à un beau plan de Big G mais...pourquoi les militaires ne vont pas vérifier après l'explosion ? C'est pas comme si le truc n'avait pas pété face à eux assis oklm dans leurs chaises longues. Personne n'a vraiment l'air étonné qu'un monstre géant de plusieurs dizaines de mètres sortent de l'eau attiré par une bombe nucléaire, et personne n'a l'air vraiment empressé d'aller récupérer des infos en allant voir plus proche.
ok.
Et la bestiole chelou en Alaska à peine plus grosse qu'un petit avion.... C'est ça les fameux Titans ? Quand est-ce qu'on passe aux choses sérieuses ?!!!??
Hmmmm....

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C'était peut-être encore pire que le premier : une seule vague apparition d'un streumon à la toute fin de l'épisode (avec des CGI approximatifs) et du drama chiant pendant le reste. Tous les défauts du premier sont surlignés ici : l'écriture en pilotage automatique, le trauma en carton de la fille, les personnages osef ou clichés, les dialogues tout nazes, la mise en scène plate et les rebondissements inintéressants (qui en a quoi que ce soit à foutre de l'organisation Monarch?). Ça ne prend aucun risque, c'est terriblement inoffensif et sans identité, ça fait du remplissage, ça ne raconte rien d'utile, et ce n'est sûrement pas l'apparition de Kurt Russell dans une scène aussi pauvre que le reste qui va relever le niveau.

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Loul. 40mn de série, 35 mn de drama chiant entre des personnages OSEF.
C'est moche. Autant ce serait tolérable si ça pouvait avoir un rapport avec une attaque de Streum comme dans Pacific Rim, autant là c'est d'un mièvre à en chier des écailles de Godzilla.
Alors oui, on voit du gloumoute (avec un concept intéressant mais loin de l'univers des Kaiju, on est plus sur du Chtulhu) mais la vache, on est loooooooooooooin des "Titans" du premier épisode ou des films. Je crois que les gars n'ont pas compris le concept....
Bref, j'ai fait avance rapide sans remords et ça se fini mollement sur la découverte d'une "faille" en Alaska.
Sans blague... Mais où vont-ils chercher tout ça ? Déjà que le coup du petit Poucet avec les copeaux de taille-crayons j'ai failli en crever de facepalm....
Je savais que le soufflé allait dégonfler mais alors aussi rapidement c'est surprenant. 10 épisodes prévu, le prochain ça va être du flashback de la destruction de San Francisco par Godzilla (histoire que les gens n'arrêtent pas la série tout de suite) mais va falloir trouver de quoi remplir les 5 derniers, en sachant d'avance que ce sera encore bouffi de Drama.

Quel dommage, il y avait pourtant un potentiel intéressant avec cette histoire de société secrète qui enquête/gère la découverte des monstres.
On aurait pu imaginer une mini fresque historique à différentes époques pour en montrer les prémices (liées à King Kong de Jackson, puis Skull Island etc.)...

Mais depuis l'énorme gap qualitatif entre l'excellent King of Monsters et le très mauvais Kong Vs Godzilla ça n'étonne pas que le "mojo" n'y soit plus et que la direction prise soit la moins ambitieuse et la plus décevante.

C'était très bien Godzilla VS Kong, c'est toi le gap.
J'avoue, la série gâche complètement son potentiel. Ça partait pas mal mais ça rame péniblement super vite... Rien que la chasse aux Titans est décevante comme tu le dis. Il y a un manque d'ampleur manifeste et c'est quand même un comble pour une série sur les Kaijus.
L'effet "Wahou" est quasi absent, c'est moche. Même le dynamisme sympa de la petite équipe de 1950 est balancé au profit des insupportables têtes à claque contemporaine....
*soupir*

Au moins ils s'amusent avec les Russell père et fils, c'est toujours ça de pris niveau originalité...

(Oui bonjour, je passais par là au hasard).

Godzilla VS Kong, j'ai trouvé complètement con, et terriblement décevant après le génial précédent.

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Que serait une série sur des monstres géants et une organisation secrète post IIème guerre mondiale sans un couple de lesbiennes s'embrassant tendrement devant un drapeau LGBT++ flottant au vent.
Mais on pourrait me prendre pour un vilain sectaire.
On aura donc aussi un joli trio d'acteurs sans charisme qui nous la jouent gros durs alors qu'ils ont vu la mort en face. Mention spécial à l'insupportable black "badass-sombre secret-hacker de génie" et son jeu d'acteur assez similaire à celui d'une endive.
Puis, des dialogues incroyables à base de "Vous savez que je sais que vous savez. Et vous n'avez rien fait malgré le fait que vous saviez ce que vous savez.".
S'enchaîne une légère vision d'ensemble de l'organisation Monarch aussi impressionnante qu'un bureau de la CGT de l'usine COGEDIM.
Des découvertes folles sur la vie de papa Randa et ses folies extra-conjugales. Ainsi que sur l'instabilité affective de sa fille, Don Juan au féminin qui trompe l'amour de sa vie à tire larigot.
Maman Randa n°2 n'a pas perdu de temps non plus question relationnel. Que de rebondissements....
Et....
Et.....
5 secondes de flashbacks sur l'attaque de San Francisco par Godzilla.

Cette série se torche magnifiquement avec les prémices de départ qui auraient pu être exploités très facilement. Des épisodes miroirs qui se suivent, tantôt en 1950, tantôt de nos jours, avec l'équipe des 3 tartignolles qui redécouvrent ce qui a causé la perte des premiers investigateurs.
Mais.... NON !
Vous boufferez du DRAMA sauce Hollywood ! Vous en aurez jusqu'à ras bord !!!!!
Après avoir vu Godzilla Minus One et ce qu'il est possible de faire, la manière dont Monarch : Legacy of Monsters aborde le sujet est d'autant plus insupportable.

Next épisode et après j'arrête cette purge.

C'est vrai que ce n'est pas très engageant. C'est dommage, de manière générale les programmes d'Apple TV sont plutôt qualitatifs.

Pour la blague, je préfère Monarch (The) dans The Venture Bros.

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Que dire, que dire, si ce n'est que cet épisode confirme la connerie monumentale d'avoir placé de jeunes têtes à claque comme protagonistes principaux.
Les meilleurs moments sont ceux se passant dans les années 50, avec cette ambiance très "X-Files" oscillant entre complots, paranoïa, guerre froide, savants fous et menaces à échelle planétaire.
L'époque contemporaine semble fadasse en comparaison, avec des twists dont on se fout complètement (la black, la française...) et un fil rouge qui n'en fini plus de se dérouler, mollement, réussissant la prouesse de faire manquer de dynamisme l'apparition de Godzilla.
Une ambiance musicale au ras des pâquerettes, des dialogues ahurissant de bêtise ("IL M'A REGARDÉ UwU'") , seul la -courte- scène avec l'hélicoptère et les écailles titanesques replace un peu les choses dans leur contexte mais franchement.... Comment taper encore plus à côté que de faire jaillir un Kaiju au milieu d'un désert algérien, sans point de comparaison de tailles ni mouvement de caméra inspiré.
Quel déception. Et tout le monde joue si mal... Les regards vides et vitreux, pas un mouvement ni cri de terreur quand Godzilla leur pète à la gueule alors que l'épisode passé était centré sur le supposé PTSD de Cate après l'attaque de San Fransisco. Les 3 endives sortis d'un teen movie ont vraiment l'air de ne rien en avoir à carrer... C'est moche de voir comment ils enfilent leurs lignes de dialogue à la chaîne, sans se remettre dans le contexte.
L'alchimie entre le fils Russell et ses 2 comparses des années 50 est tellement réussie, bien mise en scène ou filmée qu'on en viendrait à se demander s'il n'y a pas 2 réalisateurs différents en fonction des époques. Ou alors les acteurs sont bien meilleurs, et je pencherai pour cette option.
Le prochain épisode va se centrer sur la black et son "histoire" dont on se branle COMPLETEMENT avec en fond, j'imagine, la poursuite de Godzilla pendant 5 mn.

Ha, et les CGI sont pas top top mais ça passe pour une série.

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Encore un épisode en avance rapide, chiant, avec des gens qui s'agitent très fort et qui ont des dilemmes très embêtants....
Au final, zéro bestioles (allez...5 secondes ?), des explosions, des dialogues nuls, des regards vides et la réapparition de la société Apex.
Les Maychants, pour ceux qui ont raté le film Godzilla : King of the Monsters.

Pourquoi je m'inflige encore ça ?

Je me suis endormi devant l'épisode 3, je me suis dit que c'était peut être un signe de ne pas aller plus loin .

Sur IMDB les avis sont unanimes et recoupent le mien :
- les dialogues sont à chier
- les "adulescents" sont pénibles et inintéressants
- l'histoire (médiocre) est pourrie par du mauvais drama
- les années 50' auraient du être plus présentes
- les épisodes tirent en longueur pour rien
- où sont les Titans ?????



Pas mal de commentaires pointent aussi du doigt la manie ambiante de foutre des Girlbosses partout, qui ne sont là que pour s'opposer aux mecs et qui réussissent mieux qu'eux. Au détriment d'un scénario convenable.
Je n'ai pas trop senti ça, sauf le forcing LGBTXY dans un épisode...mais ça passait encore.



Je ne tiens le coup que pour Godzilla et mon devoir envers les madnautes.

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Pas de grands changements dans l'organisation de la série.
Un retour dans les années 50' plus que sympathique avec toujours notre trio très attachant et une découverte touchante sur Keiko.
Et.... le nawak habituel contemporain. Mention spécial à l'expédition au Kazakhstan, en plein coeur d'un silo radioactif, avec nos 3 pinpins....en jean/converse sans protection particulière. "ho tiens, c'est radioactif ! Bah ok, on continue à poil". Idem avec les "mues" de Streums qui n'empêchent personnes n'avancer à l'aveuglette quitte à crever.
C'est d'une crétinerie sans nom. La motivation de Lee est cohérente (fermer les failles en explosant tout) mais putain la réalisation est complètement aux fraises... Déjà, comment on "ferme" une faille en l'ensevelissant sous des tonnes de gravats ? Genre, c'est une... FAILLE qui s'enfonce sous terre pour déboucher sur un monde souterrain. Pas comme si on colmatait un nid-de-poule.
Mais bref.
Un cliffhanger qui laisse pour mort quelques personnages principaux même si j'imagine qu'on va inexplicablement les retrouver au centre de la Terre dans le monde des Titans avec une explication chelou.
Et 10 secondes de gloumoute qui se prend un rocher sur la poire.
Et effectivement, des girlbosses agaçantes qui ont tout vu tout fait du haut de leurs 25 ans. Qui n'ont ni peur des militaires, même mises en joue, ni des monstres, ni de personne en fait. GRRRRRL POWER !
Une prof de collège et une hackeuse je le rappelle.

*soupir*

S1E09

La série se réveille enfin un peu, avec l'explication de l'histoire de Shaw, de sa survie et de sa cure de jouvence. Encore un joli moment d'émotion et quelques plans bien mis en scène (la découverte de la Terre Creuse, le canif) avec les années 80' et 60'....
Par contre la série se vautre encore avec l'époque contemporaine.... Alors qu'on nous montre quelques minutes avant que le monde souterrain est imprévisible et mortel, bien évidemment tout le monde ici survit. Une capsule spéciale et des combinaisons avec casque auront été nécessaires en 1960 sans pour autant éviter les morts, mais une chute libre en bottines et trenchcoat dans les années 2000 passe crème. Les militaires se sont vraiment fait chier pour rien les nigauds.
Encore pas mal de drama et un petit Razorback assez moche en guise de Titan. Et au final on retrouve même une disparue transformée en Lara Croft pour l'occasion.
Chaque épisode enfonce le clou qu'il aurait VRAIMENT fallu que l'action se déroule dans le passé et s'en tenir aux questions militaro-politiques des USA sur fond de course aux étoiles et de chasse aux sorcières... Un X-Files avec des gloumoutes géantes que Monarch essaierait de cacher à la population alors que le trio tenterait lui de percer les mystères et de réveiller l'opinion publique.
Mais non.

Prochain et dernier épisode à suivre intitulé "Beyond logic", ce qui colle parfaitement à la série jusque là.

S1E10 - FINAL

Bah voilà, fin d'une première saison complètement pétée et sous-exploitée.
On retiendra de ce dernier épisode une belle baston entre Godzilla et le Ion Dragon, mais clairement placée là pour justifier les 10h insipides de la série....
Ensuite, on remplace un acteur par un autre et on se farcit encore du drama. Mention spéciale à Keiko qui en 57 jours (d'après elle), passe de scientifique à Lara Croft, championne du survivalisme en terrain inconnu. Girl Power, ok, mais ne poussez pas trop fort quoi...
Dernière idée qui a mon avis ne sera pas plus exploitée si une deuxième saison se profile : le bond dans le temps dû au dérèglement gravitationnel du monde souterrain. On se retrouve donc 2 ans plus tard avec Apex qui a l'air d'avoir raflé la mise et un vieux Kong en goguette sur Skull Island.
Je serai curieux de savoir dans quel mesure cette série est dans la continuité des films ou pas. On lance quand même un gros pavé dans la mare avec ces histoires de torsions temporelles et je me demande si Godzilla X Kong : New Empire exploitera ce thème.
Surtout que dans le dernier opus, malgré un voyage au centre de la Terre, ce phénomène n'avait pas l'air d'être développé ni évoqué.
Bref, très étrange.
En résumé : Une série chiante avec une bonne partie des acteurs inexpressifs et des dialogues nases. Très peu d'action et un fil rouge brouillon qui évolue au grès du vent des "dramas".
Un gâchis, des prémices tombées au fond des oubliettes et une deuxième saison qui n'arrivera sans doute jamais.