Et, of course, je plussoie également. La série Bourbon Kid ça tue. Et effectivement, c'est pas trash. C'est juste de la bonne série B fun, marrante (vraiment) et bourrine. C'est musclé et sanglant, mais le but n'est pas de choquer ou de mettre mal à l'aise, mais plutôt de régaler (amha). Enfin bref, ça tue.

Sinon, allez, je continue mes petits retours histoire de...


Je ne suis pas un Serial Killer - Dan Wells



Résumé : John Wayne Cleaver est un jeune homme potentiellement dangereux. Très dangereux. Jugez-en plutôt : garçon renfermé, pour ne pas dire sociopathe, il vit au milieu des cadavres à la morgue locale, tenue par sa mère et sa tante, il a une certaine tendance à tuer les animaux et, depuis son plus jeune âge, il nourrit une véritable passion pour les tueurs en série. Ainsi, son destin semble tout tracé.

Alors puisqu'on parle d'Anonyme, c'est à la fin d'un des tomes du Bourbon Kid qu'il en parle lui-même en le conseillant. Dont acte et lecture. Alors d'abord faut savoir que c'est le premier tome d'une série qui compte à ce jour 7 tomes, mais dont seulement 3 sont actuellement traduit en français. Et qu'est-ce que ça vaut ? Bah c'est plutôt bien. L'étude psychologique d'un ado complétement conscient de ses obsessions morbides, de ses fantasmes meurtriers, de son absence d'empathie, et de ce monstre qu'il sent peu à peu grandir en lui et qu'il essaie de comprendre et de canaliser ; toutes ses pulsions qu'il tente d'apprivoiser jusqu'au jour où un Serial Killer bien actif fera irruption dans sa vie et où il devra libérer le monstre qu'il essaie de contenir pour le trouver et le traquer, tout ça est vraiment bien mené. Le pitch est prometteur, plutôt bien tenu, rythmé, assez prenant. Y a juste un petit truc qui me dérange et qui fait vriller le récit vers des contrés - que je ne spoilerai pas - me semblant bizarres, déplacées. C'est un peu con. Ça ne nique absolument pas le récit, mais ça déçoit un peu. Cela dit je lirai les autres tomes quand même avec plaisir et curiosité. A noter que le livre a été adapté au ciné - il y a topic sur Mad - avec Max Records dans le rôle du héros et aussi avec Christorpher Lloyd. (pas vu)


Les Hérétiques de Dune de Frank Herbert



Résumé : Leto II, le Tyran, l'Empereur-Dieu, est mort depuis des milliers d'années, mais son souvenir est dans toutes les mémoires. Sa disparition a entraîné la Grande Famine et la Dispersion de l'humanité à travers les univers. Pourtant ces désordres ont assuré la survie de l'humanité conformément aux plans du Tyran; et ses Prêtres en tirent argument pour justifier leurs ambitions. Mais la Révérende Mère Taraza sait bien que le pouvoir vient de l'Epice, source de la prescience. La planète Dune, devenue Rakis, restera-t-elle le centre de toutes les intrigues alors que le Bene Tleilax a appris à produire l'Epice sans le secours des vers géants ? Les forces qui se mesurent dans l'ombre sont à l'affût du moindre signe.

Alors les trois premiers tomes de Dune - un poil moins le quatrième - font sans aucun doute partie des livres que j'ai le plus lu et relu. Je les kiffe vraiment (Big si jamais tu me lis : va te faire enculer) (mais avec des bisous hein, attention, y a le respect de l’amitié amicale et de la camaraderie des amis, bien sûr) (mais va bien te faire enculer quand même). Les deux autres tomes par contre, jamais relu depuis l'adolescence tellement j'en gardais un assez mauvais souvenir. Oui et bah voilà, la relecture des Hérétiques de Dune, cinquième tome de la saga, n'est pas trop venu contrarier mes souvenirs : c'est assez pénible. Même plus que ça en vrai, c'est super chiant. Alors oui, y a du complot, des plans à l'intérieur des plans, l'ordre Bene Gesserit - et donc évidement ses techniques de perception, de manipulation, de contrôle, leurs capacités mentales, physiques, sexuelles (bref, un ensemble qui m'a toujours fait kiffer dans la saga) - occupe la première place. Mais bordel que c'est poussif, que c'est relou et que les enjeux sont pas oufs - même si je reconnais que les Honorées Matriarches, anciens membres du Bene Geressit devenues totalement déviantes et asservissant les différentes puissances présentes dans le roman par des techniques sexuelles encore plus poussées confinant presque à l'hypnose et aux lavages de cerveaux par l'orgasme sont plutôt des antagonistes intéressants. Mais bordel, c'est chiant. De ouf. Alors, je vais quand même relire La Maison des Mères le dernier tome de la saga - enfin sans compter les suites et autres préquelles du fiston Herbert qui a continué à vouloir glaner des sous sur le dos du papounet décédé - mais fuck, ça donne pas envie. J'appréhende...


Kull - Robert E. Howard



Alors, déjà on va poser les bases : on est entre gens de qualités (enfin plus ou moins) donc on est bien d'accord que le premier qui débarque en faisant des vannes à base de Jean Kull, bon, voilà hein, je jugerai pas, j'en sors beaucoup des merdes, mais bon, faut qu'on apprenne tous à se respecter un peu, la vanne étant éculé (ouais ouais ta gueule) depuis des décennies. Après bon on sait jamais...

Bref. Qu'est-ce que je disais ? Ah oui, Kull. Alors évidemment pas de résumé puisqu'on a affaire ici à un ensemble de nouvelles que Howard écrivit de 1929 à 1932 (un dimanche je crois ; il voulait en écrire une autre et puis il s'est dit : non, merde, c'est dimanche quand même) par le jeune Howard (de toute façon il s'est suicidé à trente ans donc bon ; d'ailleurs Moody si tu me lis, dépêche toi hein, il t'a battu là...). Alors Kull est une sorte de prototype de son futur Conan - univers ensuite intégré et développé dans les aventures du Cimmérien, certaines caractéristiques du personnage etc - et fait entre autre partie de la création/modernisation de ce qu'on appellera la sword & sorcellery (ou ensuite Héroic Fantasy - même si son œuvre se classerait plus dans la Dark Fantasy amha) des décennies avant ce gros nul de Tolkien. Alors est-ce que c'est bien ? Bah ouais, c'est plutôt cool. Bien sûr ça n'a pas la même puissance immédiate que les aventures de Conan, mais ça reste assez fun, assez varié. Le style est top, carré, concis, hyper efficace et même assez moderne encore aujourd'hui. De toute façon je considère le mec comme le vrai petit génie de (entre autre) Weird Tales - pas comme cet autre gros nul de Lovecraft. Donc ouais, carré et efficace. Rien que certains titres font rêver : sans déconner une nouvelle dont le titre est "Par ma hache, je règne" moi direct, ça me donne envie. Après, ouais, je suis peut-être pas le mec le plus subtile de la planète, je dis pas. Mais n'empêche. N'empêche....


Le Livre de la Mort de Anonyme



Ps de résumé. Il spoil comme une pute de Bamako - rien de péjoratif et de raciste : ma femme de ménage est elle-même une pute de Bamako. Et d'ailleurs elle et son frangin (Mouffassa je crois, je sais plus) m'ont spolié une partie de l'argenterie. Donc je sais de quoi je parle. Merci de me laisser tranquille.

Bon je suis un peu emmerdé, parce que je vais me répéter en vrai. J'ai pas vraiment le choix. Hyper fun blablabla, bourrin blablabla, marrant gnagnagna, Série B proutproutprout... Je veux dire, il est constant Anonyme. Du coup, qu'est-ce qu'on peut bien dire sur ce quatrième tome de la série du Bourbon Kid à part que comme les précédents c'est vraiment super ? Bah je sais pas trop. Si peut-être qu'on pourrait presque trouver ici une sorte de conclusion, une apothéose prenant les différents éléments introduits dans les tomes précédents (même la prequelle) pour les faire exploser, les faire s'entrechoquer. D'ailleurs, c'est pas forcément déconnant vu qu'il a voulu passer à autre chose avec l'excellent Pyscho Killer - Cradle a raison, il tue Psycho Killer (de toute façon va falloir reconnaitre et accepter que Cradle a souvent raison) (ça casse les couilles hein, mais faut admettre) - l'excellent Pyscho Killer disais-je qu'Anonyme voulait il me semble détacher de la saga du Bourbon avant de se dire que, oh et puis merde faisons se rencontrer les deux personnages quand même osef. Mais sinon, que dire d'autre ? Bah que c'est hyper fun blablabla, bourrin blablabla, marrant gnagnagna, Série B proutproutprout.

Les Hérétiques de Dune j'avais moyennement accroché aussi, trop "laborieux" à mon goût et pas franchement captivant.
La Maison des mères par contre m'avait réconcilié avec la saga malgré sa fin sous "hallucinogènes". Ou c'est peut-être pour ça que j'en garde un bon souvenir ^^. Sachant de plus que je suis restée sur cette fin, n'ayant pas eu de très bons échos des suites faites par les fils (puis je suis peut-être aussi un peu puriste sur les bords )
L’Empereur-Dieu de Dune est sans doute mon préféré par contre. C'est l'apogée ou l'aboutissement d'une certaine manière des changements commencés dans les premiers tomes. Et Leto II est quand même un sacré personnage/ver !

Sinon il faudrait un smiley facepalm parce qu'en voulant mettre ma bibliothèque à jour je me suis rendue compte que je l'avais Psycho Killer bien rangé à côté des 4 autres tomes de ce cher auteur Anonyme (probablement de cette période où je n'arrivais plus à lire :s). Du coup voilà ce que je lis en ce moment !

Ah génial tu viendras nous faire un retour <3


J'ai terminé l'homme aux murmures d'Alex North, petit coup de coeur pour ce premier roman d'un auteur donc anglais. Extrêmement fluide, le roman nous plonge au coeur d'une enquête d'enlèvement d'enfant similaire à un enlèvement qui a eu lieu il y a 20 ans. C'est un thriller qui flirte pas mal avec le roman horrifique/fantastique. Lu le pavé en quelques heures en ayant du mal à couper lors des pauses déjeuner, complètement happée, je conseille!

Effectiv'ment, Le Diable en Gris, ça commence bien !

Je me souviens d'une intro dans une baraque bien gorasse <3

Yep, par un prédateur invisible.

oui bah ça c'est euh le truc principal hein

Oui, mais je spoile pas, personne ne va le lire.
Mais ça va, on a vu pire côté scènes d'intro' trashouilles chez Masterton. Mais cool quand même.

Nan j'aime bien, c'est bien fourni en humour en plus !

Cradle, tu n'as toujours pas chopé/lu Les copains d'Eddie Coyle ?

ah oui ! non! putain ! je le note!!!

J'espère qu'il se passe des trucs dans ce bouquin, parce que Les Copains d'Eddie Coyle, le film avec Robert Mitchum, c'est un peu derrickien...
Sinon, sur les bons conseil de je-ne-sais-plus-qui du fofo, je lis Terreur de Dan Simmons, et c'est bien cool.

C'était Kull ôté dis donc.

Jamais vu le Yates. Tout le génie du bouquin de Higgins réside en partie dans la forme, quasi que du dialogue de la rue™ tout du long. Et ce que ça raconte est tout aussi fascinant, du naturalisme chez les petites frappes de Boston.
L'un des meilleurs polars que j'ai pu lire (et Elmore Leonard pense comme moi )

Au fait, y en a qui savent si il existe des romans avec uchronie américaine, où les civilisations américaines se seraient développées plus rapidement que les nôtres et débarqueraient chez nous comme on l'a fait ?

Il y'a "Civilizations" de Laurent Binet (Grasset) qui raconte la conquête de l'Europe par les Incas. Pas lu, mais pas mal entendu parler l'an dernier.

Ah ça pourrait correspondre parfaitement, merci de l'info.

Le mec, il se fait une partie sur Civilisation 4 et il finit par se dire: "tiens, ce serait un bon roman, ça. Et puis chie dedans, je garde le titre."
(Je le sais, j'ai fait la même)

L'enfer c'est à quel étage ? de Serge Brussolo



Modèle nu, Jeanne doit poser pour un sculpteur dont l’atelier est installé au cœur de la maison Van Karkersh, un hôtel particulier dont le propriétaire fut jadis retrouvé coupé en morceaux dans la cage des fauves, au jardin zoologique voisin.
Là, tout n’est qu’angoisse, malédictions, obscurité. La bâtisse semble abriter mille crimes impunis, et tout autant de secrets.

Version revue et corrigée d'un court roman lu adolescent sortie sous le nom de Catacombes, L'enfer c'est à quel étage ? propose une histoire de maison hantée plutôt réussie et ma foi assez prenante, réussissant à proposer des passages plutôt corrects malgré le genre ultra balisé dans lequel il évolue. Le style est ultra fluide, la gestion des différents mystères mystérieux est pas mal, c'est même plutôt glauque par moment. Pas ouf, mais vraiment sympa. Ça révolutionne pas le genre, mais y a des idées. Je recommande.


Hypérion - Dan Simmons



Sur Hypérion, c'est la panique : des millions d'habitants tentent de prendre d'assaut les derniers astronefs pour s'enfuir avant l'arrivée des Extros, des envahisseurs en guerre avec la confédération terrienne... Pendant ce temps, sept pèlerins que rien n'aurait dû rassembler rallient la petite planète de l'Hégémonie pour y rencontrer le gritche, un monstre incompréhensible, capable de maîtriser le temps, objet du culte morbide de l'Église des templiers !

Deuxième roman (hyper ambitieux) de Dan Simmons - et premier du cycle des Cantos d'Hypérion comptant quatre romans et une nouvelle - qui m'a toujours titillé depuis des décennies mais que j'attaque seulement aujourd'hui, Hypérion propose un melting pot assez dingue de tout ce que peut proposer la science-fiction. A travers l'histoire de ces sept pèlerins qui lors de leur périple nous raconteront leurs vies et ce qui les ont amené à entreprendre cette quête, Simmons abordera : le space-op, le cyberpunk ambiance film noir avec détective privé, la xeno-archéologie, le récit de guerre façon space-marines, les paradoxes temporels, le tout saupoudré d'une ambiance mystique face aux différents mystères (extra-terrestre) présentés. Bref, on sent le mec qui veut en découdre, non seulement proposer une sorte de livre somme abordant le maximum de sous-genres tout en proposant un univers hyper cohérent, dont chaque parties pourtant très différentes nous permettent d’appréhender le dit univers, l'enrichissant constamment dans une dynamique assez soutenue. Balaise.
Alors comme souvent avec les grandes sagas de science-fiction, il faut un peu de temps avant de totalement rentrer dedans, maitriser les contours de cet univers, ces spécificités, ces concepts et le vocabulaire les exprimant, mais une fois que c'est intégré (assez rapidement quand même, faut pas déconner) le bouquin s'ingurgite avec plaisir. Seul petit bémol me concernant la fin un peu trop "fuck you, achète le prochain volume" un peu sec. Mais bon, rien de fondamentalement grave.


Dernière sortie pour Wonderland - Ghislain Gilberti



Un pédophile se cache-t-il derrière le conte le plus célèbre du monde, Alice au Pays des Merveilles ? Lewis Carroll a-t-il brouillé les pistes pour masquer la véritable Alice, bien réelle, qui aurait été l'une de ses victimes ? Le roman gigogne de l'auteur français, Ghislain Gilberti, Dernière sortie pour Wonderland, remonte la piste d'Alice et de son bourreau à travers un puzzle effroyable et brillant.

Alors il y a une question fondamentale existant depuis des années (toujours ?) et à laquelle nous avons été plus que confrontés ces dernières années qui pourrait s'articuler comme suit : peut-on (ou doit-on) différencier et séparer une œuvre de son auteur, surtout lorsque cet auteur se révèle être le dernier des mega fils de pute ? Gilberti répond de manière assez particulière - à travers son roman, mêlant récit fantastique/fantasy et enquête assez poussée sur ce gros bâtard de Lewis Carroll - en proposant littéralement d'extraire et d'expurger l'univers fictif de son enfoiré d'auteur en en faisant le grand méchant vicié à combattre dans une réappropriation complète de l'univers. C'est assez brillant. Nous suivons donc une jeune et contemporaine Alice se retrouvant plongé dans Wonderland après l’absorption d'une drogue cheloue lors d'une fête, qui oscillera donc entre visions de certaines scènes bien glauques de la vie de Caroll-le-pédo et aventures dans un Wonderland revu et corrigé selon ce prisme et dont la quête ultime sera donc de vaincre le mal ayant contaminé l'univers, un mal prenant la forme de l'auteur lui-même comme je le disais au-dessus.
Bref, c'est vraiment un super bouquin, limite nécessaire.


Surtensions - Olivier Norek



Cette sœur acceptera-t-elle le marché risqué qu'on lui propose pour faire évader son frère de la prison la plus dangereuse de France ? De quoi ce père sera-t-il capable pour sauver sa famille des quatre prédateurs qui ont fait irruption dans sa maison et qui comptent y rester ? Comment cinq criminels - un pédophile, un assassin, un ancien légionnaire serbe, un kidnappeur et un braqueur - se retrouvent-ils dans une même histoire et pourquoi Coste fonce-t-il dans ce nid de vipères, mettant en danger ceux qui comptent le plus pour lui ?

Dernier roman de la trilogie prenant pour héros le capitaine de la SDPJ 93 Victor Coste, Norek prouve encore une fois - outre son expérience du terrain (voir ma review de Territoires) - qu'il est hyper balaise dans la construction de son récit et dans la gestion du ryhtme. Impossible de lâcher le bouquin tellement c'est fluide, prenant, et particulièrement malin dans sa construction : on nous expose des sous-intrigues impactant l'intrigue principale qui elle même ré-impacte par ricochets les sous-intrigues avant que le tout ne rejoigne et explose dans un final assez touchant. De la très bonne came.

Même avis sur Surtensions, vaguement cité plus hau, et putain dernière sortie pour Wonderland, faut que ce soit un auteur français qui foute ce pedo de Lewis Caroll sous le projecteur... Juste pour info l'auteur a été attaqué pour diffamation par je ne sais quel organisme à Londres, mais acquitté grâce aux preuves qu'il a accumulé. Ghislain Gilberti m'a dit qu'il avait même retrouvé un emballage de bonbon dont Lewis se servait pour foutre de l'opium dedans, afin de shooter les gamines. Le peu d'image d'archives retrouvé (la majorité a été brûlé par son auteur avant sa mort), est déjà glaçant, à voir le regard vide de ses jeunes enfants.... (photos à la fin du bouquin).
J'ai kiffé l'opposition de la version d'Alice de Ghislain ultra moderne, avec le passé bien réel de Lewis. Ouais nécessaire.

C'est d'ailleurs encore assez peu connu du grand public, peu traité notamment dans des sites populaires où ce n'est même pas approché comme une controverse.
(Sa page Wikipedia, par exemple)